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Réunies à Dakar du 13 au 15 Septembre 2011, les OSC d'Afrique francophone ont décidé de créer une plate-forme afin d'accroître leur participation efficace au renforcement du système de santé en particulier la vaccination d'ici 2017

RDC : Plaidoirie pour une couverture totale de la vaccination en RDC par le Directeur Général de Gavi

En visite en RDC, ce 15 novembre 2015, le Directeur Général (DG) de l’Alliance mondiale pour le vaccin et l’immunisation, Monsieur Seth Berkley, accompagné du conseiller médical du ministre de la Santé publique, Shodu Lomamy, a visité dix-neuf chambres froides du Programme élargi de vaccination (PEV) à Kinshasa, qui ont une grande capacité de conservation de vaccins, financées par GAVI. 
Cette visite été l’occasion d’évaluer le partenariat entre GAVI et le gouvernement de la RDC ainsi que la participation de cette organisation internationale dans la prévention de certaines maladies par la vaccination.
Au cours d’une tribune, au Centre de santé de Mbakana, dans la commune de Maluku à Kinshasa, où le DG de Gavi, M. Seth Berkley était en visite, il a plaidé pour une couverture vaccinale totale en République démocratique du Congo. Pour lui « il est important de continuer à accroitre la couverture vaccinale parce qu’un enfant qui est bien vacciné peut également vivre en utilisant le maximum de ses potentialités et nous devons continuer à travailler pour que ces enfants soient vaccinés », 
Selon les l’ACP, le DG de GAVI a rappelé que son organisation est un partenaire important du gouvernement de la RDC dans l’achat et la livraison de vaccins ; ce qui a permis d’ailleurs la réduction de certaines maladies, notamment la rougeole qui a sévi dans l’ex province du Katanga. 

En savoir plus:
sercontent.com/search?q=cache:http://acpcongo.com/acp/plaidoyer-pour-une-couverture-vaccinale-totale-en-rdc/

OMS : le Plan mondial d’éradication de la rougeole, des objectifs pas atteints malgré les efforts consentis

Selon l’OMS, la rougeole est une maladie virale grave extrêmement contagieuse. Déjà, en 1980, avant que la vaccination ne se généralise, l’organisation estimait à 2,6 millions par an le nombre de décès dus à la rougeole. Ainsi, pour stopper définitivement la rougeole, l'OMS avait fixé en 2010 des objectifs sanitaires ambitieux à travers Plan mondial d’éradication de la rougeole pour éradiquer mondialement la maladie en 2015. 
Les principaux objectifs fixés à travers ce plan étaient : (i) d’atteindre une couverture nationale de 90 % des enfants d'1 an par la première dose de vaccin à valence rougeole (MCV1) et de 80 % dans tous les districts ou unités administratives équivalentes de chaque pays ; (ii) de ramener durablement l'incidence annuelle de la rougeole à moins de 5 cas pour 1 million d'habitants, (iii) et, de réduire de 95% (au moins) la mortalité rougeoleuse estimée, par rapport aux chiffres de 2000. L’évaluation qui a été faite par l’OMS montre que ces résultats ne seront pas atteints  malgré les efforts consentis, en dépit du soutien logistique et financier du GAVI ("l’Alliance du Vaccin"). Toutefois, des résultats importants ont été obtenus grâce aux campagnes de vaccination préventive. En effet, même si les cas de décès dans le monde s’élèvent encore à 114 000 en 2014, le taux a été divisé par 5 depuis 2000. D’après les données de L’Initiative contre la rougeole et la rubéole, conduite l’OMS, les vies sauvées en 2000 par les programmes vaccinaux de masse s’élèvent à près de  17,1 millions. 

Actuellement, les différentes plateformes de l’OAFRESS sont à pied d’œuvre, notamment au Cameroun et conformément aux recommandations de l’OMS, pour un renforcement et une pérennisation des campagnes coordonnées de vaccination contre la rougeole, en particulier dans les zones à risques.

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Côte d’Ivoire : Prévention du Cancer du Col de l’Utérus, lancement de la phase pilote de la campagne de vaccination anti-HPV, chez les jeunes filles de 10 ans

Dans le cadre de la prévention du cancer du col de l’utérus, le ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, avec l’appui de Gavi et ses partenaires a mis en œuvre une campagne de vaccination anti-HPV dans les districts sanitaires de Korhogo et d’Abengourou.
La cérémonie de lancement de la campagne a eu lieu le lundi 16 d’Abengourou sous la présidence de la ministre de la Santé et de la lutte contre le Sida, Raymonde Goudou et a marqué le premier passage de cette vaccination qui s’est déroulé du 16 au 20 novembre 2015. Au cours de cette cérémonie, Mme le ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida de la côte d’Ivoire, Raymonde Goudou Coffi, estime que « environ 80% des femmes sont exposées au papillomavirus virus humain et le cancer du col de l’utérus représente le premier cancer de la femme en termes de mortalité, non-sens déplorer cependant l’insuffisance d’informations de la population féminine sur le danger ».
Jusqu’ici, le premier moyen de prévention du Cancer du col de l’utérus est la vaccination des jeunes filles à l’âge de 10 ans. Passé cet âge, la détection précoce, à travers des visites médicales annuelles pour les femmes âgées de plus de 10 ans, reste le deuxième moyen efficace pour prévenir la maladie.
Pour le moment, les districts sanitaires d’Abengourou et de Korhogo ont été choisis pour cette phase pilote de la campagne de vaccination anti-HPV d’une durée de deux ans. Cette campagne visait pour le premier passage, une population cible d’environ 4 000 jeunes filles de 10 ans dans le district sanitaire d’Abengourou et autant dans celui de Korhogo.

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Cameroun: Campagne préventive de vaccination contre la Rougeole et la Rubéole

Le Ministère de la santé du Cameroun a lancé une campagne de vaccination préventive contre la Rubéole et la Rougeole du 24 au 29 novembre 2015 à Bafoussam. Cette campagne qui a concerné principalement les enfants âgés de 09 mois à 14 ans, a touché près de 9 440 692 personnes.
Selon les sources officielles, le Cameroun est encore bien loin des objectifs fixés dans le cadre de l’élimination de la rougeole et de la rubéole mise en place par la communauté internationale dès l’année 2011. En effet, même si L’OMS estime (entre 2000 et 2014), que la vaccination contre la rougeole a permis de sauver la vie à 17,1 millions de personnes, le nombre de cas de rubéole et de rougeole ne cesse d’augmenter ces dernières années au Cameroun.
Le Ministre de la Santé du Cameroun estime que la rougeole touche presque toutes les régions du pays et affirme que 74 personnes sont déjà mortes de la rougeole en 2015 contre 49 en 2014. Ainsi, pour le Ministre, « c’est dans l’objectif de réduire la morbidité et la mortalité imputable à ces deux pathologies que le MINSANTE organise sur tout le territoire, une campagne de vaccination préventive avec le vaccin combiné rougeole et rubéole (RR) du 20 au 29 novembre 2015».
La combinaison de ces deux vaccins s’explique, d’après le Dr Marie Kobela, secrétaire permanente du Programme Elargi de Vaccination (PEV), par le fait que des cas de rubéole sont souvent confondus avec la rougeole et «l’augmentation de ces maladies a été constatée ces derniers temps et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande d’administrer les vaccins combinés contre ces deux maladies».
Les organisations de la société civile sont très actives au Cameroun pour l’élargissement et la diffusion de la vaccination dans toutes les régions du pays. A cet effet, le PROVARESC (Forum de la Société Civile pour la Promotion de la Vaccination et le Renforcement du Système de Santé au Cameroun), Membre de la Plateforme d’OAFRESS, qui s’investie déjà dans l’appui à la mise en œuvre du PEV et très présent, est très impliqué dans les campagnes vaccinales du pays), à travers la mobilisation sociale et la sensibilisation. Ces actions entrent en droite ligne des exigences du Plan d'Action Mondial pour la Vaccination (GVAP) qui vise une couverture vaccinale efficace et optimale.

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Mauritanie : Introduction du vaccin polio inactivé dans le PEV de routine

Dans le cadre d'une campagne de vaccination que la Mauritanie a organisé du 23 au 26 octobre 2015, près de 650 377 enfants mauritaniens de 0 à 59 ont été vaccinés contre la poliomyélite, supplémentés en vitamine A et déparasités pour freiner définitivement la chaîne de transmission de cette maladie. Dans la dynamique de la lutte pour éradiquer la Polio, le vaccin polio inactivé (VPI) est intégré depuis vendredi 13 novembre 2015 dans le programme élargi de vaccination (PEV) de routine, sur un financement de l'Etat et de l'alliance mondiale pour la vaccination (GAVI).

Le Gouvernement de la Mauritanie à voulu marquer le pas, pour annoncer son programme de renforcement de son systèmes de santé et d’immunisation contre les maladies ravageuses, qui touchent surtout les enfants. Ainsi, une cérémonie officielle de lancement à partir de la ville de Keur Macène, wilaya du Trarza, présidée par le ministre de la santé, M. Ahmedou Ould Hademine Ould Jelvoune, en présence des représentants des organisations des nations unies qui s’occupent de ces questions et de la société civile.
Au cours de cette cérémonie, il a été rappelé les efforts qui ont été entrepris depuis plusieurs années pour lutter contre cette maladie, qui touche principalement les enfants de moins de cinq ans et pour laquelle il n'existe pas de traitement ; la vaccination reste jusqu’à présent la seule alternative efficace. Cependant, il convient de noter que la Mauritanie a connu des avancées importantes en matière de lutte contre la polio : «  le pays n'a plus notifié de nouveaux cas de Poliomyélite à Virus Sauvage (PVS) depuis pratiquement cinq ans, le dernier cas ayant été rapporté en Avril 2010 ».
Pour rappel, le Réseau de la société civile d'appui et de soutien à la vaccination en Mauritanie «VACNET-Mauritanie», membre actif de la plateforme OAFRESS est très impliqué dans ces dynamiques à travers la participation : aux événements pour le renforcement du PEV de routine, à l’organisation de journées nationales de vaccination, des campagnes de sensibilisation et de communication, mais aussi aux activités de veille sur l’évolution de ces pathologies.


En savoir plus sur : http://rapideinfo.net/node/9636

Sénégal: Célébration de la journée mondiale de lutte contre le diabète.

Au Sénégal, selon les spécialistes, le Diabète connait une hausse constante, malgré les efforts des autorités sanitaires. En effet, le nombre de diabétiques connus et suivis dans les structures de santé sénégalaises s'élève à 50.000 malades, mais des statistiques font dans le même temps état de 350 à 400.000 diabétiques. Selon l'OMS, il y aura 552 millions de diabétiques dans le monde d'ici 2030 dont 75% des cas vivront dans les pays à faible revenus comme le Sénégal.

Initiée par la Fédération internationale du diabète en 1989 qui a été rejoint par l’OMS en 1993, la journée internationale du Diabète est célébrée chaque année le 14 novembre pour sensibiliser les populations sur la maladie.
En marge de la célébration de cette journée au Sénégal, a été organisée la clinique du Diabète et de l'Hypertension artérielle du District sanitaire Dakar ouest, qui a offert à cette occasion un dépistage gratuit pour : (i) le Diabète, (ii) l'hypertension artérielle, et, (iii) le cholestérol.
Toutes les personnes dépistées positives à l’une de ces pathologies ont été consultées gratuitement le même jour par un spécialiste en cardiologie ou en diabétologie.


En plus de cette activité, une conférence sur le thème « Place de la Diététique dans la prise en charge du patient diabétique » a été organisée, au centre de santé Philipe Maguilen Senghor, pour sensibiliser et orienter les patients.

Cette journée qui a connu un franc succès a vu une large participation des membres du RESSIP (Réseau Santé, Sida et Population), membre fondateur actif de la Plateforme OAFRESS, au Sénégal 

Mali : la FENASCOM (Fédération Nationale de la Santé Communautaire) comptée comme Membre du Comité technique pour la revue des dépenses publiques (RDP) de la banque Mondiale au Mali

Ce 15 Octobre 2015, le Ministère de la Santé et de l’hygiène publique du Mali, a notifié à la
FENASCOM qu’elle a été coptée comme membre du Comité technique pour la revue des dépenses publiques (RDP) de la banque Mondiale au Mali.

En effet, dans le cadre du suivi budgétaire en santé, le Ministère  de la Santé en collaboration avec la banque mondiale a décidé de mener une étude sur le financement de la santé au Mali. Un comité technique de suivi de cette étude a été mis en place et le Président de la Plate-forme FENASCOM, est désigné comme membre de ce comité technique de haut niveau. Ce choix conforte la position de l'OAFRESS dont la FENASCOM est un membre fondateur très actif.

Vaccin antipaludéen: l'OMS recommande le déploiement des tests en Afrique Subsaharienne

Un panel d’experts de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), a annoncé le test sur près d’un million d’enfants en Afrique Subsaharienne du Mosquirix, vaccin le plus avancé contre le paludisme.
Selon, le Pr. Jon Abramson (président du Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS sur la vaccination), le Paludisme est actuellement l’un des premiers facteurs de mortalité dans le monde. De plus, 75% des décès concernent des enfants de moins de cinq ans, en grande majorité en Afrique subsaharienne, où le parasite tue 1.200 enfants par jour.

D’après les prévisions des experts, chargés de conseiller l’OMS sur les politiques de vaccination, le Mosquirix, fabriqué par le laboratoire britannique GlaxoSmithKline (GSK), sur des financements de la fondation de Bill et Melinda Gates, devrait être distribué dans trois à cinq zones de manière à évaluer son efficacité. Ce vaccin pourrait ainsi bénéficier jusqu’à un million d’enfants. Ce vaccin est le premier vaccin antipaludéen à atteindre la Phase III des essais cliniques – l’étape finale avant l’autorisation de commercialisation – et le premier à être évalué par des institutions.
Cependant, il a été signalé que la vaccination complète se fait en quatre injections, l'administration de la quatrième dose devant avoir lieu un an et demi après les trois premières.

Lors du déploiement de cette phase pilote, on devrait également savoir s'il est envisageable d'administrer quatre doses lors des programmes de vaccination systématique. En effet, une des préoccupations principales du panel d'experts est de savoir si les parents se déplaceraient pour faire administrer à leurs enfants cette quatrième et dernière dose. Car, "Si l'on n'administre pas cette quatrième dose, l'efficacité du vaccin est annulée" selon le Pr. Abramson.
En outre, il convient de souligner que le laboratoire GSK a déclaré que le médicament serait distribué à un prix "non lucratif". Selon M. Abramson, il pourrait coûter environ 5 dollars la dose, soit 20 dollars par enfant pour un traitement complet.

En savoir plus : http://maliactu.net/vaccin-antipaludeen-loms-recommande-le-deploiement-des-tests-en-afrique-sub-saharienne-2/

Sénégal: Consultations pré-natales et post-natales, des étudiants Sénégalais inventent une application en langues nationales

Partant du constat que « la plupart des causes de mortalité infantile « pouvaient être évité par un vaccin » fait à temps ; mais aussi que la mortalité maternelle constitue encore un fléau dont les conséquences peuvent être minimisées à l’aide d’un dispositif d’alerte efficace », une équipe composée de sept jeunes étudiants de l’université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal, à mis au point une application mobile innovante sur la santé maternelle.
Le projet dénommé « KARANGUE SOS VACCINATION » est en effet un système d’alerte intelligent consistant à rappeler aux mamans leurs visites pré et post natales, leurs rendez-vous de vaccination, les suppléments nutritifs, etc. ; ceci par SMS ou messages préenregistrés vocaux dans les différentes langues locales sénégalaises (wolof, le sérère, le haal-pulaar, le mandingue et le diola) aux femmes inscrites dans le système.
Ce projet a reçu plusieurs distinctions : en 2013 1er prix international de l’économie positive, 1er de la compétition BUNTU TEKKI,  en 2015 1er du Hackathon Orange, etc. Des membres « KARANGUE SOS VACCINATION » ont aussi récemment été au Forum Mondial de la langue française qui s’est tenu au cours de ce mois de juillet à Bruxelles.
La mise en œuvre de l’application génère des coûts cependant sur  « sur les rappels vocaux : La souscription au service Sos-vaccination est de 500 FCfa pour un total de 6 vaccins rappelés.

En savoir plus :
http://www.socialnetlink.org/2015/08/une-application-en-langues-nationales-pour-les-consultations-prenatale-postnatale-et-pour-les-vaccinations/

Burkina-Faso: Plan de préparation et de riposte à une éventuelle épidémie de méningite

Situé dans la «ceinture méningite», le Burkina-Faso est régulièrement frappé par des épidémies de Méningite, qui sévissent surtout pendant la saison sèche  et se manifestent chez les personnes infectées, par une montée brutale de température, de violents maux de tête, des vomissements et une raideur du cou.

Le Secrétariat Permanent des Organisations Non Gouvernementales (SPONG), membre d’OAFRESS, après avoir alerté sur la circulation de Faux Vaccins contre la méningite en circulation en Afrique de l’Ouest (en mai 2015) continue à soutenir activement l’implication de la société civile dans les systèmes de vaccination et de santé au Burkina-Faso.
Déjà en 2010, une vaste campagne préventive avait été organisée par les pouvoirs publics du pays, face à la récurrence de la situation sur toute l’étendue du territoire. En effet, cette campagne avait servi de base avait connu un franc succès à travers la diffusion d’un vaccin qui conféraient une immunité sur dix ans.
Toutefois, en mai 2015, l’épidémie a connu une résurgence avec la détection de près de 1696 cas suspect et 182 décès. L’épicentre de cette épidémie était le district de Karangasso-Vigué qui a été la seule zone à avoir atteint le seuil critique. Pour l’OMS, «le seuil d’alerte épidémiologique se situe à 5 cas pour 100.000 habitants, tandis que le «seuil épidémique» quand le taux d’attaque est de dix cas pour 100.000 habitants en une semaine».
Selon le Ministre en charge de la santé, « c’est dans le dernier trimestre de l’année (et une bonne partie de l’année à venir) que l’épidémie commence généralement à se manifester. Le document soumis au Conseil des ministres (et qui a été adopté ce jeudi, 8 octobre 2015) va mobiliser pour sa mise en œuvre, une somme d’environ trois milliards 700 millions de francs CFA ».
L’adoption de ce rapport permet de disposer d’un document de référence national de lutte contre la méningite, pour permettre de détecter et de riposter efficacement contre toute épidémie de méningite sur la période 2015 – 2016.

En savoir plus : http://www.lefaso.net/spip.php?article67312

Madagascar: Une grande offensive pour lutter contre la poliomyelite

Suite à la découverte de onze cas de poliovirus dans différentes régions du pays, le ministre de l’intérieur annonce la sortie d’un arrêté pour obliger à la vaccination des enfants. En effet, malgré les risques de propagation de la polio, certains parents restent méfiants. La Coalition malagasy pour le renforcement du système de santé et de vaccination» (COMARESS), membre de l’OAFRESS, joue un grand rôle dans l’appui à la mobilisation sociale et le sensibilisation pour l’éradication de la polio à Madagascar. 

Selon un communiqué de presse conjoint des partenaires techniques et financiers dans cette lutte comme l’USAID, le Rotary, la Gavi, l’UNICEF et l’OMS « Un premier cas de poliovirus a été découvert en octobre 2014 et le second en janvier 2015, respectivement dans les régions de Sofia et Vatovavy Fitovinany. En juin 2015, neuf cas liés au cas de Sofia, ont été enregistrés dans les régions de Boeny, Menabe, Androy, Anosy et Atsimo-Andrefana, dont deux chez des enfants de plus de 5 ans ».
De plus, selon le ministère de la santé publique, un autre cas aurait été encore détecté au mois d’août dans le district de Sakaraha et le virus continue de circuler dans tout le pays. Pour arrêter la prolifération de cette maladie, les autorités publiques passent à l’offensive à travers la préparation de la sortie prochaine d’un arrêté interministériel, visant à encourager les établissements et les communautés à ouvrir leurs portes aux agents de santé mobilisés pour effectuer la campagne de vaccin contre la polio.

En savoir plus : http://www.cci.mg/index.php?p=actualite&id=29&id_det=4876

Mauritanie: la fièvre de la vallée du Rift fait 8 morts sur 25 cas suspects.

Une enquête indépendante réalisée par une commission de la société civile, présidée par  le Président de SOS Abbere M. Isselmou O. Hanefi, membre de l’OAFRESS, a rendu public, un rapport sur l’épidémie de la fièvre de la vallée du Rift en Mauritanie.


La fièvre de la Vallée du Rift avait fait 17 morts en Mauritanie en 2012. Cette maladie est transmise par des moustiques et, selon l’OMS, dans la grande majorité des cas, l’infection se produit chez l’homme à la suite d’un contact direct ou indirect avec du sang ou des organes d’animaux contaminés.
Actuellement, la fièvre de la Vallée du Rift (FVR), a déja fait huit morts en Mauritanie depuis septembre, selon un nouveau bilan communiqué ce samedi (10 octobre 2015) par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). En effet, d’après le représentant de l'OMS à Nouakchott, Jean-Pierre Baptiste, le bilan fait par le gouvernement (mauritanien), qui joue ainsi la transparence, après l’interpellation de la société civile, est de huit morts sur 25 cas suspects".
Aucun traitement contre la FVR n'est homologué mais des candidats vaccins sont à l'étude, d'après l'OMS. 
En savoir plus :

République de Guinée: Mobilisation sociale de la campagne de vaccination contre la méningite dans la préfecture de Kankan

La  Guinée fait partie des pays de la ceinture méningitique et depuis quelques mois certaines préfectures du pays ont
notifiées des cas de méningite qui ont nécessité la planification d’une campagne de vaccination par le Ministère de la Santé Publique et ses partenaires techniques et financiers en vue de vacciner les populations dont la tranche d’âge est comprise entre 1 à 29 ans. La campagne qui a eu lieu du 06 au 12 Août 2015 dans toutes les préfectures de la région Administration de Kankan a connu une mobilisation active de la Société civile, notamment du POSSAV (Plateforme Des Organisations de la Société Civile pour le Soutien à La Sante et La Vaccination), membre de l’OAFRESS, à travers une grande mobilisation sociale.

Le lancement officiel de la campagne de vaccination contre la méningite A a eu lieu le 06 Août 2015 au centre de santé de la commune urbaine, dans la Région Administrative de Kankan.

L’objectif de cette campagne de vaccination de masse consiste à réduire le nombre de cas d’infection et à contrôler l’éclosion de la méningite dans la préfecture Kankan.

Au terme de la mise en œuvre des activités de cette campagne les résultats ci-dessous ont été atteints :
Ø 7 CR de la préfecture ont bénéficié des activités de mobilisation sociale communautaire ;
Ø 12 districts résistants des CR de Boula et Batè Nafadji ont été sensibilisés sur l’importance de cette campagne de vaccination et sur l’accueil des équipes de vaccination ;
Ø les problèmes qui entravent l’atteinte des objectifs des différentes campagnes de vaccination ont été identifiés ;
Ø 13 personnes réparties en 6 équipes ont été déployées dans les 27 quartiers de la commune urbaine de Kankan pour la mobilisation sociale ;
Ø 3 équipes composées de 6 personnes ont été déployées dans les CR et districts pour assurer la mobilisation sociale.
  

Pour Plus d’information : www.possav.org / possavguinee2013@gmail.com

Sénégal: Une trentaine de cas de CHIKUNGUNYA apparus dans la zone aurifère de Kédougou

31 personnes ont été diagnostiquées porteuses de CHIKUNGUNYA Dans la zone de Kédougou, selon le médecin chef de la région médicale de Kédougou.

Le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale, a sorti un communiqué pour rappeler que
tous les cas diagnostiqués à Kédougou ont été traités et guéris. En effet, cette maladie dont traitement est essentiellement symptomatique est une pathologie virale et infectieuse, transmise à l’homme par un moustique, qui sévit depuis plusieurs années en Afrique, en Asie et en Amérique.

Le CHIKUNGUNYA se manifeste par une forte fièvre avec des douleurs articulaires intenses, pouvant être associées à des douleurs musculaires, des céphalées, des nausées, de la fatigue ou une éruption. Les complications graves sont exceptionnelles, et peuvent être notées chez les personnes âgées et les enfants. 
Pour l’instant la maladie est circonscrite seulement dans la région de Kédougou. Le diagnostic ne se faisant que laboratoire, les prélèvements ont été effectués et analysés par l’Institut Pasteur de Dakar. Toutefois, il convient de rappeler que « cette maladie virale n’est pas mortelle, mais jusqu’à présent, aucun vaccin n’a été trouvé ».

Pour aller plus loin : 

Sénégal: Avancée dans la recherche pour vaccin anti-EBOLA

Selon J. SARR et SY  du populaire (02/09/2015) : "le Sénégal n’a pas croisé les bras après avoir réussi la prouesse de soigner le premier cas «importé» d’Ebola apparu sur ses terres il y a plus d’un an. Le service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann a beaucoup avancé dans la recherche de la prévention de la maladie. La preuve, un vaccin anti Ebola Gsk est en train d’y être expérimenté présentement".
L’expérimentation d’un vaccin contre la maladie à virus Ebola entre dans le cadre d’un projet de recherche qui vient de débuter dans les deux grands hôpitaux du pays, notamment, au niveau du service des maladies infectieuses de Fann et du Service de virologie de l’hôpital le Dantec.
Ainsi, le Sénégal s’investit activement, à l’instar de plusieurs pays de la sous-réion, dans la prévention de la maladie à virus Ebola. D’après des informations confirmées par le Pr Moussa Seydi (rapportées par le quotidien le Populaire du 02/09/2015), « ce médecin de renom qui avait guéri le premier cas "importé" d’Ebola au Sénégal, plus d’une centaine de volontaires sénégalais ont été vaccinés avec le vaccin anti Ebola Gsk (Laboratoire pharmaceutique britannique Glaxo Smith & Klein). Toutefois, il précise que «les personnes vaccinées sont des volontaires composés pour la majeure partie du personnel de la santé qui ont accepté de recevoir le vaccin dans le cadre d’un projet de recherche de phase II ».
L’OAFRESS poursuivra ses investigations pour savoir si cette prévention concerne d’abord  la petite enfance et les femmes, notre cible privilégiée.

Pour aller plus loin : http://www.seneplus.com/article/un-vaccin-anti-ebola

Visite de la délégation de DFID et de GAVI à SANRU

Ce mardi 15 septembre 2015, à partir de 10h30, dans le cadre de leurs visites en République Démocratique du Congo afin d’échanger avec les OSC intervenant dans le domaine de la vaccination, une délégation du Département pour le développement international (DFID) du Royaume-Uni, principal donateur des fonds gérés par  GAVI et un de ses fondateurs, s’est rendue au siège de SANRU asbl dans la commune de la Gombe, organisation coordinatrice du consortium des Organisations de la Société Civile (OSC) bénéficiant du financement GAVI.
 Cette visite a été initiée par DFID pour analyser des mesures fiduciaires et programmatiques de GAVI en matière de gestion des risques. Elle a été aussi une occasion pour passer  en revue des progrès accomplis par GAVI afin d’appliquer sa nouvelle approche de l’assurance et la gestion des risques dans la mise en œuvre des programmes.
La délégation était composée d’une part, de la Directrice Adjointe des programmes pour GAVI chez DFID et du Chef d’équipe  de l’assurance thématique et stratégique du Département des audits internes du coté DFID et d’autre part, du Directeur de l’Unité de soutien aux pays, du Gestionnaire de programmes pays, du  Gestionnaire de programmes, Unité de financement des programmes ainsi que du Chef de département de Bailleurs de fonds Européens, Mobilisation des ressources  du côté de GAVI.  Le consortium, composé de 4 organisations (SANRU, Croix Rouge RDC, Association Rotary Club Congo, et CNOS) et représenté par ses Gestionnaires de Projet avec l’appui du Directeur Technique et du Conseiller Technique et Stratégique de SANRU.

Les échanges entre le consortium  et la délégation DFID et GAVI ont portés sur :
  • Les activités principales des OSC et la répartition des tâches entre les membres du consortium ;
  • Les risques programmatiques et financiers et les stratégies utilisés par les OSC pour minimiser ces risques;
  • La coordination entre les activités des OSC et celles des autres partenaires PEV 
  • L’organisation du service d’audit interne de SANRU;
  • Les mesures prises lors de la découverte d’un gap lors de l’audit interne;
  • Les responsables du suivi de recommandations après l’audit;
  • Les vérifications de l’utilisation des fonds pour la mise en œuvre des activités;
  • Les modalités de rapportages de l’utilisation des fonds à GAVI.
  • Lors des échanges, les membres du consortium ont rassuré DFID des mesures prises pour minimiser les risques fiduciaires et programmatiques. Les risques programmatiques sont limités vu que le consortium se réunit mensuellement, et participe aux diverses réunions tenues entre le Programme Elargi de Vaccination et ses partenaires à tous les niveaux afin d’harmoniser les activités. De plus, la présence des points focaux dans les 5 provinces d’interventions assure un suivi de proximité et une collaboration étroite avec les responsables des Antennes PEV et/ou zones de santé de la mise en œuvre des activités, ainsi que l’intégration des activités des OSC dans le Plan d’Action Opérationnel (PAO) et plan de communication des zones de santé.
Quant aux risques fiduciaires, elles sont minimisées par le respect des procédures internes et des bailleurs,  la contractualisation directe avec les zones de santé, le transfert des fonds trimestrielle aux zones de santé et la remontée des pièces justificatives. Pour SANRU qui a un service d’ d’audit interne, le processus de gestion financière est analysé périodiquement tant en son niveau qu’au niveau des autres membres du consortium à travers des descentes de terrain.

Au terme des échanges  le directeur Technique de SANRU asbl a salué l’initiative prise par les bailleurs de suivre la mise ne œuvre des activités qu’ils financent et a remercié la délégation pour la visite A son tour, la délégation DFID et GAVI a exprimé sa satisfaction au consortium dans sa gestion des risques.
Ainsi, une photo de famille a été prise devant le bureau SANRU pour commémorer cet évènement.
Bonne continuité du travail à tous pour le bien être des communautés congolaises.

Renforcer les systèmes de santé en Afrique


Selon le CRDI, les chercheurs de l’Initiative sur les systèmes de santé en Afrique (ISSA) ont découvert plusieurs moyens de renforcer les systèmes de santé en Afrique subsaharienne. Les systèmes de santé qui sont faibles entraînent une charge élevée de maladies évitables et traitables, en particulier dans les zones rurales. On a besoin de systèmes de santé forts afin d’offrir un accès adéquat à des soins de santé de qualité.
Il y a plusieurs difficultés à surmonter pour renforcer les systèmes de santé, telles que le manque de personnel et les inégalités d’accès aux soins. Dix équipes de recherche ont concentré leurs efforts sur les agents de santé de première ligne et les systèmes d’information sur la santé. À l’aide de diverses études et interventions, ces chercheurs avaient pour but d’améliorer l’accès aux soins de santé pour les personnes les plus vulnérables, en particulier les mères et les enfants.
Améliorer les soins de santé dans les zones rurales
Les zones rurales sont confrontées à des difficultés particulières, en plus d’un manque de personnel médical. Au Burkina Faso, les chercheurs ont découvert que le recrutement régional favorisait l’emploi de davantage d’infirmières et de sages-femmes dans les régions éloignées. Il est donc important d’employer de nouvelles méthodes de recrutement et de conservation du personnel de manière à renforcer la dotation dans les zones rurales.
Les études menées en Ouganda ont révélé que la formation des agents de santé communautaires sur les maladies courantes de l’enfance, comme le paludisme et la diarrhée, permettait d’accroître le nombre d’enfants traités. Ce processus de délégation des tâches à des agents moins spécialisés est prometteur pour l’amélioration de l’accès aux soins.
Renforcer les systèmes d’information en matière de santé
Les technologies de l’information peuvent être utiles afin d’améliorer la qualité des soins de santé. En Ouganda par exemple, les chercheurs ont constaté que les technologies mobiles ont aidé les agents de santé communautaires des zones rurales à recueillir des renseignements sur les patients et à les relier aux systèmes d’information sur la santé de l’établissement principal.

La télémédecine, étudiée par les chercheurs dans des pays francophones d’Afrique, a contribué à réduire les décisions erronées dans les zones rurales, à accroître le nombre de consultations et à réduire le coût pour les patients.

RCA : Introduction du vaccin anti-poliomyélitique inactivé dans le programme élargi de vaccination (PEV)

Sous le haut patronage de la Présidente de transition en présence des diplomates et des chefs des agences des Nations Unies en Centrafrique, la RCA vient de lancer officiellement l’introduction de la VPI (Vaccin Polio  Injectable) dans le PEV de routine en RCA. Un programme dans lequel l’ASSOMESCA plateforme d’ONG en RCA et membre de l’OAFRESS est partie prenante à part entière.
La 65ème Assemblée Mondiale de la Santé tenue en mai 2012, a déclaré l’éradication de la polio comme une urgence de santé publique au niveau mondial, le Groupe Consultatif d’Experts sur la vaccination a recommandé l’introduction du VPI dans la vaccination de routine. C’est ainsi que le Plan stratégique pour l’éradication de la poliomyélite et la phase finale 2013-2018 a été mis au point avec pour objectif d’achever l’éradication et le confinement de tous les poliovirus, qu’ils soient sauvages ou dérivés d’une souche vaccinale pour faire en sorte qu’aucun enfant ne soit plus jamais atteint de la poliomyélite paralytique.
Ce plan prévoit l’introduction d’au moins une dose de vaccin Antipoliomyélitique inactivé (VPI) dans les calendriers de vaccination systématique en tant que stratégie pour atténuer le risque potentiel de réémergence du poliovirus de type 2 après le retrait des souches Sabin de type 2 du vaccin antipoliomyélitique Oral (VPO).
Déjà en 1988, l’Assemblée Mondiale de la santé fixait l’objectif noble d’éradication en l’an 2000. Pour diverses raisons cette échéance a été́ reportée à 2005, puis à 2010 et enfin 2012.

C’est dans ce contexte que Le VPI (Vaccin Polio Injectable) vient d'être introduit dans le PEV de routine en RCA. Le lancement officiel a eu lieu le 1er Septembre 2015 sous le haut patronage de la Présidente de transition en présence des diplomates et des chefs des agences des Nations Unies en Centrafrique. Quatre des sept régions sanitaires que compte le pays l'utilise déjà dans les centres PEV opérationnels. Ayant présidée la cérémonie, Le Ministre de la Santé a fustigé la faible performance du PEV de routine en RCA avant de saluer l’introduction du vaccin inactivé en Centrafrique, qui constitue selon elle pour le Niger une opportunité́ à saisir pour bouter définitivement hors du territoire national la poliomyélite.

Par ailleurs l’ASSOMESCA, la plateforme des ONG membre de l’OAFRESS a pris activement part à l'évaluation conjointe (OMS, UNICEF, IST, AMP, MS et OSC) de la soumission GAVI/RSS de la RCA. Réunion qui s’est tenue du mardi 8 au vendredi 11 septembre 2015. Quant à la validation de ce document, elle s’est faite au cours de la réunion du CCIA du 14/09/2015 convoquée pour la circonstance.

La FENASCOM coptée comme membre de la commission suivi-évaluation RSS du Mali

Dans le cadre de la mise en œuvre du programme de Renforcement du Système de Santé sur financement GAVI Alliance, une commission de suivi de l'évaluation finale dudit programme a été créée au Mali (Décision N° 2015/1263/MSHP-SG). La plateforme de la FENASCOM a été retenue comme représentante de la société civile dans cette commission.

La Fédération nationale des associations de santé communautaire (FENASCOM) est une fédération faîtière des Associations de santé communautaire (ASACO) créée en 1994. La FENASCOM contribue au développement d’un système de santé et de service social accessible aux populations. Elle intervient sur tout le territoire malien, dans 8 régions et dans le district de Bamako. Elle comprend 1070 aires de santé, dont 954 avec une ASACO.

Mission accompagnement : rencontre avec la Ministre de la santé

Le Dr Clarisse Loumou vient d'achever ce mardi soir une mission de 2 jours d'intenses séances de travail avec l'équipe de coordination. Visite au cours de laquelle l'équipe a été reçue en audience par la ministre de la santé du Sénégal Awa Marie Cole Seck.

La délégation était composée du Dr Clarisse LOE, membre du comité technique de l'OAFRESS, Mr Guy BENISSAN Coordonnateur du REPAOC, Mme Sylvie G.Coulibaly AKOUSSAN coordinatrice de la plateforme OAFRESS et de Mlle Carine LOGBE Responsable des programmes du REPAOC. 
La rencontre avait pour objectif de rendre compte à la ministre par ailleurs marraine de l'OAFRESS de l'état d'avancement des activités de la plateforme, les défis et enjeux du réseau mais aussi des difficultés auxquelles est confrontée le réseau depuis sa mise en place.


C'est avec joie que la délégation de l'OAFRESS a accueilli les félicitations de la patronne de la santé au Sénégal pour le travail abattu en seulement 4 mois d’activité. Mme Awa Marie Coll Seck a également réaffirmé son soutien et sa détermination à porter les messages de l'Organisation d'Afrique Francophone pour le Renforcement des Systèmes de Santé au niveau régional comme au niveau international.

Mission de coaching auprès du Sécretariat de l'OAFRESS basé à la coordination régionale du REPAOC


Du 12 au 15 Septembre 2015, Dr Clarisse Loe Loumou, était à Dakar pour mener une mission de coaching auprès  du Secrétariat de l’OAFRESS basé à la Coordination régionale du REPAOC. Cette mission à permis de rencontrer et présenter à certains partenaires clés du projet les activités menées à ce jour au niveau de la plate-forme des Organisations d’Afrique Francophone pour le Renforcement des Systèmes de Santé et de la Vaccination (OAFRESS).

Les principaux objectifs de cette mission étaient de :

·         Revisiter le plan d'action arrêté à Saly en Mai 2015,
·         Revoir le niveau d'avancement des activités;

   ·            Recueillir les avis des partenaires (Ministère de la santé du Sénégal, UNICEF, AFRIVAC, HKI…).